jeudi 14 janvier 2010

Asa Nisi Masa


Fellini, 8 et demi. Toutes les scènes y ont une poésie absurde.

Le plus joli des rêves d'enfant.
Le blanc du blanc (la scène des thermes est simplement mythique). L'ombre présente.
L'homme comme boîte noire qui est parfois déconnecté de sa réalité physique.

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